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    Personare

    Parcours au Défi OSEntreprendre
    • Lauréat régional Réussite inc. 2021

    • Participant Création d'entreprise 2011

    • Services aux entreprises
    • Mauricie

    Spécialiste de la vulgarisation historique

    200

    Nombre de personnages incarnés par Jean-Philippe Marcotte depuis plus de dix ans. C’est bon an mal an près d’une vingtaine de rôles différents à défendre!

    Personare a vu le jour à Trois-Rivières en 2010. Pas surprenant, a-t-on le goût de dire, car le chef-lieu de la région de la Mauricie est reconnu comme un terreau fertile de la vulgarisation historique. «Le patrimoine, l’architecture et la culture y sont mis en valeur à chaque coin de rue ou presque. Plusieurs guides et animateurs d’expérience sont passés par Trois-Rivières avant de faire leur bout de chemin», explique Jean-Philippe Marcotte, fondateur et propriétaire de Personare.

    La mission de Personare est d’exposer notre histoire, de la fondation de la Nouvelle-France jusqu’au milieu du siècle dernier, de manière accessible et captivante pour tous. Concrètement, on cogne à la porte de l’entreprise pour mettre sur pied des animations de rue, des visites guidées et des concepts immersifs. Pour ce faire, elle recourt à une cinquantaine de pigistes, aussi bien en animation, en conception, en création de costumes, en recherches historiques, en rédaction qu’en scénarisation.

    «On part d’un lieu, d’une ville, d’un bâtiment, voire d’un événement, puis on élargit», résume l’entrepreneur. Lors du centième anniversaire de fondation d’Amos en 2014, Personare a ainsi mis en scène les vagues de migration qui s’élançaient de la gare d’Hervey-Jonction, dans Mékinac, pour aller coloniser l’Abitibi.

    Personare est de plus en plus sollicitée pour des mandats de développement et de conception de produits touristiques, tels que des audioguides, des baladodiffusions et des circuits d’interprétation. Une avenue naturelle pour Jean-Philippe Marcotte, qui occupe également un poste de professeur en tourisme au Collège Laflèche. «C’est un boulot d’appoint que je fais pour le plaisir. Quand on est passionné par un sujet comme je le suis, on ne compte pas ses heures», conclut-il.

     

     

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